Bordeaux : la marque Sézane rouvre son pop-up store pour huit mois
Votre pop-up store où vous voulez, quand vous voulez.
1506
post-template-default,single,single-post,postid-1506,single-format-standard,bridge-core-2.0.8,ajax_fade,page_not_loaded,,qode-title-hidden,qode_grid_1200,footer_responsive_adv,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-child-theme-ver-1.0.0,qode-theme-ver-21.0,qode-theme-bridge,disabled_footer_top,qode_header_in_grid,wpb-js-composer js-comp-ver-6.1,vc_responsive

Bordeaux : la marque Sézane rouvre son pop-up store pour huit mois

Place Puy-Paulin, dans un typique immeuble bordelais, l’enseigne a rouvert son appartement-boutique. Là même, où il y a deux ans, le tout Bordeaux se ruait en quête des pièces iconiques à la facture soignée.

Tout à l’image de l’univers qui a fait la renommée de l’enseigne créée il y a huit ans par Morgane Sézalory, sur la Toile, les 250 m² de ce showroom, organisés autour de pôles thématiques, concentrent art de vivre à la française et prêt-à-porter à la confection respectueuse dans une atmosphère cocooning mêlant parquet aux teintes chaudes et tentures soyeuses. Dans une déclaration d’amour à Bordeaux, la marque a cette fois décidé de s’installer jusqu’à mi-juillet 2022.

Une cinquantaine de modèles faisant la part belle aux imprimés, couleurs vives, broderies et dentelles, sans oublier l’incontournable bar à mailles, que viendront renouveler les prochaines collections saisonnières, en plus des « capsules mensuelles et des nouveautés de chaque semaine », complète la jeune femme. De là à penser que Sézane puisse poser définitivement ses valises dans la cité, comme à Londres, New York ? Morgane Sézalory élude d’un « on ne sait jamais ».

Ce retour s’accompagne d’une extension de l’offre, avec une pièce au design sobre et élégant, dédiée à l’univers masculin confié aux bons soins de « la marque frère Octobre ». Il est aussi proposé une personnalisation des accessoires de maroquinerie réalisée à la dorure à chaud du plus bel effet.

 

 

 

 

 

 

 

Source : Sud-Ouest
(Lien vers l’article complet
ici)